Prendre (toute) la mesure de la lumière…
Depuis les séismes des 25 avril et 12 mai 2015, j’ai su ceci : en dépit de la ruine, en dépit de la peur qui nous fera chercher dans chaque rue l’issue la plus proche vers un lieu dégagé si la Terre revenait à trembler, contre nos faiblesses et pour le pays, par respect pour les morts et par empathie pour les vivants, pour leur dire qu’ils ne sont pas seuls et pour la joie d’être parmi eux, il faut revenir au Népal.