« Il faudra revenir »
Une Expérience, sur France culture, par Brice Andlauer
À propos des retours, et particulièrement de celui du voyage de L’Usure du Monde
… des photographes, artistes ou universitaires que j’aime ou qui m’intriguent, mais qui m’obligent à me questionner.
À propos des retours, et particulièrement de celui du voyage de L’Usure du Monde
À propos de la deuxième édition de la résidence « Les nouvelles oubliées » de rn7
Ethnologue, maître de conférence à l’Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco).
Journal d’une résidence de création artistique et de médiation culturelle en Ardèche. Septième partie : L’ancrage par l’itinérance, une conversation avec Moïse Maigret, de l’association Écran Village à Lamastre-Vernoux.
À propos de son livre Satan mène le Bal (Filigranes, 2020).
Journal d’une résidence de création artistique et de médiation culturelle en Ardèche. Quatrième partie : Une conversation avec Patrick Dallet, directeur du cinéma Le Vivarais à Privas.
Mon histoire, c’est l’écriture. À Libération j’ai commencé par écrire, d’abord sur la littérature, puis un peu sur la peinture, et puis personne n’écrivait sur la photographie…
À propos de son voyage en Inde en 1955-1956.
La seconde partie de cette conversation paraît sous un statut différent de la première…
J’ai eu envie de garder trace d’une conversation avec Jean-Xavier pour des raisons que j’avais imaginé exposer en préambule de cette transcription. Dessein que la conversation sur laquelle ce désir est échu a rendu caduc. Cette conversation je la voulais libre mais l’avais préparée. Elle a décidé de rester libre. Elle est partie plus vite que moi…
À propos de la Dolpo Box.
La photographie entretient un lien évident avec la mémoire et l’identité, mais je ne suis personnellement pas sûr que ce lien soit si simple qu’on veuille bien le présenter communément. Peut-être ne s’agit-il pas tant de ce que la photographie est, que de l’usage que nous en faisons.
À propos de L’Usure du Monde
« C’est douloureux de me relire. Parce que je réécris alors ma parole de façon excessive, et je tue le texte. Parce que je vais toujours, à travers les mots, à travers les images, vers une seule et même chose : l’abstraction du vide… la beauté et l’horreur intrinsèques au vide. C’est bien que quelqu’un d’autre s’en charge, et préserve la part spontanée de la pensée. Je suis à toi dans moins de dix minutes. »
À l’occasion de la parution de Brumes à venir.
Les Murs ne parlent pas, de Jean-Robert Dantou et Florence Weber, fait partie de ces livres de photographies qui, par le soin apporté à la polyphonie des langages, réussissent à dire bien plus que ce qu’ils disent.
Prasiit Sthapit est un photographe et vidéaste népalais basé à Katmandou. Il est l’auteur de la série Change of Course, qui traite des répercussions de l’évolution géologique de la rivière Narayani, censée marquer la frontière entre le Népal et l’Inde dans le village de Susta, sur l’identité de ses habitants.
Dive Dark Dream Slow, de Melissa Catanese, est sans doute l’une des tentatives de recontextualisation de photographies vernaculaires les plus réussies et les plus excitantes de ces dernières années. Ce type de photographie et ce type de projet étant tous deux désormais largement acceptés dans le champ de la photographie artistique, j’ai voulu en savoir plus, à la fois sur le livre et son auteure. La conversation qui suit fut menée par courriel sur une durée de quelques semaines.
À propos du flux…
Nous empirons le processus à l’œuvre en allant au bout de ses défauts, pensant qu’au bout de ce chemin escarpé il y aura (peut-être) la grâce.